• Légacy des Sultan - Chapitre 4 : Amitié

    Depuis notre rendez-vous au bar le "crotal" il y a 2 semaines, j'ai revu Clément quelques fois. Il m'a, comme promis, fait visiter la ville et m'a montré les plus belles vues des environs.

    Nous terminions une soirée réussie, quand nous sommes rentrés chez moi. 
    Je lui expliquai ma promotion au boulot tout en regardant les étoiles.

    Légacy des Sultan - Chapitre 4 : Amitié

     

    Je me sens si bien avec lui. Notre amitié est devenue très forte et nous ne savons pas rester un jour sans nous appeler ou nous voir. 
    Nous pouvons parler de tout et de rien, de choses importantes, tout en confiance. 

    Il m'avoua qu'il aimait passer du temps chez moi. Le coin lui plait bien et la vue est à couper le souffle. 
    Je décidai donc de lui proposer de venir habiter avec moi. 

    Il fut très surpris mais accepta ma proposition. 
    Il amena sa tente et décida de dormir à la belle étoile. 

    Il est très pudique et solitaire. Il a besoin, parfois, d'un peu de solitude. 
    Il ne veut surtout pas m'embêter.

    Le lendemain matin, j'avais congé. Je prépara le petit déjeuner.

    Légacy des Sultan - Chapitre 4 : Amitié

    Et Clément veint manger des oeufs brouillés avec moi. 
    Il regarda sur son téléphone et apperçu une offre d'emploi dans le domaine créatif, pour le musée de la ville voisine. Il hésita. Les trajets étaient longs. 
    Il envoya quand même son CV sans grand espoir. 

    Légacy des Sultan - Chapitre 4 : Amitié

     

    Les jours passèrent et Clément et moi nous sommes rapprochés. 
    Nous avons tenté de débuter une histoire d'amour. 

    Légacy des Sultan - Chapitre 4 : Amitié

     

    Mais notre amitié était trop forte. Nous ne voulions pas nous perdre. Nous sommes comme frère et soeur. Notre histoire d'amour n'a pas fonctionné. 
    Nous étions gêné tous les deux dans l'intimité. Il continua de dormir dans la tente, de me partager les frais du quotidien. Il ne gagnait pas beaucoup d'argent, il travaillait dans le stade de la ville.

    Je sais que cet emploi ne lui plaisait pas du tout. Il revenait triste du travail. Je le voyais de moins en moins, la solitude l'isolait dans sa tente. 
    Il avait changé.

    Tout avait changé.

    Ce matin là, avant de partir au boulot il me dit "Prends soin de toi". 

    Je n'ai pas compris. J'alla au travail. 
    J'en sorti 8 heures plus tard, une promotion en poche. 
    Mais en rentrant à la maison ... 


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